Car toutes les peaux / pelures ne sont pas forcément bonnes à manger bien sûr.
Mais toutes contiennent, et des fibres nécessaires à une santé intestinale optimale, et des nutriments qui ne se retrouvent qu’en périphérie de la pelure/peau, et des antioxydants efficaces contre le cancer notamment.
Par exemple, la peau des kiwis contient des antioxydants reconnus comme étant anticancers, anti-inflammatoires et antiallergènes.
Pour savoir la différence entre les fibres solubles et insolubles et leur action dans notre organisme, cliquez ici.
La réponse va presque de soi. Quand l’aliment est biologique, on garde la peau/pelure, mais on le nettoie bien comme il faut.
Lorsqu’il s’agit d’un aliment non biologique, le peler permet d’éliminer une bonne partie des résidus de pesticides de sa surface… par contre, le peler enlève aussi les fibres, nutriments et antioxydants mentionnés plus haut.
Lorsque les épluchures sont faites à l’aide d’un couteau, plutôt que d’un économe (éplucheur de légumes), les pertes en fibres et nutriments peuvent atteindre 25 %.
Alors, je vous conseille, lorsque vous n’avez pas le choix d’acheter du non biologique, d’éplucher vos aliments avec un économe afin de peler le plus finement possible.
Sinon, il y a toujours la bonne vieille manière de «gratter» au couteau, comme le faisait ma grand-mère. Ça fonctionne très bien. 😉