Serait-il possible d’avoir des conseils sur la façon de faire baisser «de façon naturelle» puis réguler le taux d’acide urique ainsi que des précisions sur le régime alimentaire à adopter. En effet, on trouve tout et son contraire dans les recherches sur internet.
Après 6 mois de « régime » par suppression principale du fromage, de l’alcool fort et de la viande rouge, le taux de cholestérol de mon mari a baissé (il était juste à la limite haute) mais l’acide urique déjà élevé a encore augmenté et son médecin lui a donc ordonné un médicament l’Allopurinol. Après un mois de prise d’1 gélule/jour et maintien du régime entrepris, le taux a baissé. Mais l’idéal serait quand même la régulation du taux sans aide chimique.
Afin de baisser le taux d’acide urique de façon naturelle, et ce très rapidement, il faut être prêt à faire certains changements au niveau alimentaire oui, ce que vous avez commencé avec votre mari, mais aussi au niveau du mode de vie.
Le taux de cholestérol n’a aucune incidence comme tel sur le taux d’acide urique, par contre un taux de cholestérol trop élevé peut indiquer une alimentation riche en protéines animales, ce qui pourrait expliquer un taux d’acide urique élevé.
Mais tout d’abord, qu’est-ce que l’acide urique ? Il s’agit d’un déchet qui est le produit final de la dégradation des purines.
Au niveau alimentaire, c’est le déchet «final» produit lors de la digestion et métabolisation des protéines.
Mais sachez que les deux tiers des purines à éliminer chaque jour proviennent des cellules mortes du corps, et le tiers des aliments ingérés. D’où l’importance d’un mode de vie adéquat.
Pour vous situer, la tristement célèbre «crise de goutte» est le symptôme typique d’un taux d’acide urique trop élevé.
Ajoutez à votre assiette :
Enlevez à votre assiette :
Pour terminer, il y a quelques produits naturels qui aident de façon spectaculaire à baisser le taux d’acidité, mais tout dépendant si vous êtes situé au Québec ou en Europe, les produits offerts ici ne sont pas forcément autorisés là-bas… prenons le stévia que ne vient que d’être «accepté» en Europe, alors qu’ici en Amérique du nord, ça fait des années que nous y avons accès.